Pantins de plumes/Chap.9- Retrouvailles PART2 -p8

Fallen_Angel a écrit:

magnifique !!

tres belle histoire ! ^o^
ton talent est incontestable !!
et pis j'aime tellement tes BJD que j'affiche clairement que je suis fan n°2 humaine de Dante ! mon 3eme ange Favori !

faut vraiment que je me decide à faire, à ecrire, l'histoire de Daisuke !
je t'en ferai part aussitot ^^

Merciiiii Fallen
c'est qui ton deuxième ange ???

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii l'histoire de Daisu et quelques petites photos nous ferais (enfin là je parle pour moi bien sur) le plus grand bien

j'adore trop la manière donc tu agencé tout les scénar de tes bjd et les connections entre chaque ! c'est super d'avoir tout cet historique et affinité :3

Gab a écrit:

Merciiiii Fallen
c'est qui ton deuxième ange ???

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii l'histoire de Daisu et quelques petites photos nous ferais (enfin là je parle pour moi bien sur) le plus grand bien

lool ! ^^
mon 2eme Ange adoré n'est pas ici pr le moment ; bon allé je te le dis , il s'appelle Lior et c'est le ..... chut ! Daisuke ne doit rien savoir pr le moment !

je me suis mise à la recherche de ce petit-bout sans qu'il le sache ^^;;

Rann >>> merci

Fallen >>> J'ai hâte de voir ce t'tit bout de Lior

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Chapitre 8 : Déception
Première partie de la semaine d'absence de Dante



Dante est parti en ce samedi après-midi du 7 Janvier 2006, la déception dans l’âme…
Il venait de recevoir un message de : Cendre

Texte écrit par Orpheelin
Bonsoir Dante…
Je pense que nous ne pourrons nous voir ce week end. Et je tiens à te confier ce que j’avais à te dire l’autre soir. Je ne me sens pas le cœur de te cacher cela indéfiniment, non pas qu’il y eu quelque chose d’officielle entre nous, et que je doive impérativement te rapporter les moindres écarts. Mais tu es si cher à mon cœur, et je trouve auprès de toi une chaleur et une intimité que je n’ai eu avec personne. L'inclinaison que tu as pour moi m'oblige a rester la plus honnête possible.Toi le bel ange, toi l’âme pure. Je ne suis pas honteuse, mais je suis triste. Je me suis donnée à Toren.
Derrière ses moqueries il y avait de l’attirance. Derrière ses railleries, le désir. Il n’y avait qu’un pas à franchir et je l’ai fait. Dans ce geste il n’y avait pas de sentiments, mais l’honnêteté de son être, qui n’a pas cherché à me mentir sur ses intentions, qui n’a pas cherché a endormir ma méfiance et jouer de faux sentiments, pour mieux obtenir ce qu’il désirait.

Tu étais dans mes pensées, lorsque ma décision fut prise. Et le froid qui m’a gagné de l’intérieur fut plus redoutable que celui qui nous assaillait alors dans le vent et la neige. Je me sens si seule. L’amour qui a quitté mon corps avec la trahison de Faust, me laisse un vide que je n’arrive pas a combler. J’espérais seulement retrouver un peu de chaleur, a défaut d’amour dans les bras du barbare. J’ai tenté plusieurs fois de mettre le masque de la tendresse dans le jeu de nos corps. Il était plus honnète avec moi que je ne l’étais avec lui.
Sentir son corps contre le mien m’a rendu un souffle de vie que j’avais oublié. Je veux être aimée en femme, je veux être désirée, je veux me sentir vivante. Car sous les apparences de poupée que je me donne, sous les sourires, les plaisanteries, la légèreté de mon attitude, il y a un cœur malade qui bat dans mes côtes.

Je suis triste oui, car je suis certainement entrain de te blesser. Mais aussi parce que c’est ton ventre a toi que j’aurais voulu sentir contre mes cuisses, pour m’évaporer dans tes baisers, qui auraient peut être eu le goût de la tendresse plus que celui du stupre.

Pardonne moi, Dante…

Il a claqué la porte derrière lui, les marches défilent sous ses pas, puis la rue, gauche ou droite quelle importance…Elle n’a pas cru en lui et en ses sentiments et a préféré ce donner à un autre qui ne lui promettait rien…
Les rues défilent, puis d’autres à l’infini, il ne sait pas ou il va… Ses pas l’ont mené sans le savoir dans ce même bois que Gabrielle a parcouru la mort dans l’âme, à peine un mois plus tôt. Il replonge dans ses pensées et marche inlassablement vers sa destinée, son cœur bat trop fort dans sa poitrine, il lui fait mal, il voudrait l’arracher pour évacuer cette souffrance. Il n’arrive pas à oublier son visage, le parfum de ses cheveux diaphanes sur sa joue, son nom et surtout ce sentiment qu’elle a fait resurgir en lui… Lui qui c’était bien juré de ne jamais retomber dans le piège…
Une envie de tout détruire sur son passage le tiens au ventre, sa vision se brouille, ses larmes roulent sur ses joues. Son âme se consume et à ce rythme-là, il n’en restera que des… Cendre…

À nouveau des rues sous ses pas, mais maintenant les réverbères projettent son ombre sur les pavés disjoints des rues de la capitale et là devant lui se dressent les portes de ce lieu où ils se sont rencontrés pour la première fois… Là, que le soleil à miroité dans ses longs cheveux, là qu’il est tombé sous son charme, là que…
Le Père-Lachaise…

Au même moment dans ce même cimetière…
Texte écrit par Orpheelin
Elle court , elle s’essouffle. Une rue, puis une autre, un dédale interminable ou elle tente de rattraper ce qui lui a échappé. La nuit nappe les choses et les êtres, et la lumière froide des réverbères donne un ton blafard à sa chevelure emmêlée. Depuis combien de temps se perd-elle ainsi sur des chemins qui ne la conduisent nulle part ?
Son nom sur les lèvres, elle espère, pourtant.
Le martèlement de ses bottes sur les pavés semble la poursuivre comme les tambours d’un condamné à mort, tandis que son ombre s’étire et se déforme sur les façades mornes des vitrines et des vieux immeubles. Sa voix se brise quand elle crie son nom. Plus assez de souffle, plus assez de forces. Elle peut sentir le trajet brûlant de l’air jusque dans ses poumons, et les larmes monter dans ses yeux fatigués. Et ce silence. Juste le murmure de la ville, au loin. Le poids de son corps, peut être de son cœur devenu trop lourd, s’écroule sur ses jambes raidies par la course. Elle s’effondre. Pourquoi ce silence…?

Elle ne voulait pas de promesses, elle ne voulait pas de ces mots qui sont si souvent trompeurs, ces artifices dont elle avait si peur…Ne l’avait-on pas déjà brisée une première fois ? Ne lui avait-on pas menti ?

Elle se sent si seule à présent, consciente d’avoir précipité sa propre chute. Quelle importance que tout cela… Elle sait depuis le début qu’elle ne méritait pas d’avoir à ses côtés pareille lumière. Il l’éblouissait trop. Éclaboussée par les ténèbres, sa lueur à lui devenait presque douloureuse.

Ses yeux se fixent sur une dalle gravée au sol. Elle comprend ce silence et cette étrange quiétude. L’ombre d’un grand crucifix s’abat sur elle et donne à sa silhouette des angles durs.
C’est là qu’ils se sont rencontrés. Dans ce cimetière. Elle se relève, elle marche sur les tombes, escalade les mausolées, cherchant désespérément, une lueur, sa lueur. Peut-être est-il ici accroupit sur une pierre tombale comme un ange en prière, ses ailes noires en arche protectrice autour de lui. Sa tête lui fait mal, ses genoux écorchés et ses pieds meurtris la trahissent à chaque pas. Sa volonté ne lui suffit plus et c’est son corps qui l’abandonne à présent. Mais l’Ange est là.
Lorsqu’elle s’écroule, il lui fait un berceau de ses grands bras. Dans sa chute, sa chevelure spectrale s’étale en arabesques sur son torse et ses épaules. Il sourit. Penché sur elle, sa tête légèrement inclinée, le regard maladivement tendre. Elle se crispe et sa gorge libère une plainte atroce. « Dante… »

L’Ange est là. Mais il est de lichens et de pierre…

Dante de son côté est loin d’imaginer que Cendre, le tourbillon de ses pensées, se trouve à quelques mètres de lui, en plein désarroi…
Il se demande si sa place est vraiment ici, sur cette terre qu’il a apprise à aimer, le ciel ne veut plus de lui, que lui reste t-il… l’enfer…
À ce moment, son regard est attiré par une forme blanche éclairée par la lune. Elle tombe dans les bras d’un ange de pierre, non ce n’est pas elle, ce n’est pas possible… Cendre…
Il se précipite vers elle…
Soudain la terre se fend en deux devant ses pas, il tombe… Il n’a pas le temps de déployer ses ailes, la terre ses refermée sur lui… Il tombe toujours, mais jusqu’où. Ses yeux se ferment, il perd connaissance…

**la suite en page 5**

TToTT .....*trouve pas ses mots* la suiteuh !!

Gnaaaaaaaaaaaaaaa! (pas de mots intelligibles pour décrire)

Hum je n'arrive pas à lire la fin sérieusement.. je n'arrête pas d'imaginer Dante se casser la gueule dans une tombe...

etoilebleue a écrit:

Hum je n'arrive pas à lire la fin sérieusement.. je n'arrête pas d'imaginer Dante se casser la gueule dans une tombe...

Nous vairons bien si Ophée, nous fait la parodie de cette histoire en BD

Rhaaaaaaaaaaaa oui, la suite... on veut savoir ! Quel suspens....

Vos deux talents mélangés donnent une autre dimension à l'histoire... c'est superbe !

je vais pas faire original mais..la suuuiiiteeuuu!!!

Aaaaaaaaaaaaahhh ToT !!!!!! La suiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ah bah voui, la suite, quand même.

rhala voui, voui, voui la suite *_* !!!

C'est sublimmmeeeuuuhhh ! Oui la SUITE ! J'espère aussi que Orphée va en faire une BD !

La suite très bientôt, un peu de patience.

Et pour la BD, il faut acclamer Orpheelin, pour qu'elle nous la fasse