Départ en vacances//les 5 premiers chapitres

Ce topic aura pour objet, une histoire inspiré par un rêve.
Ouhaou lala rien d'extraordinaire.

J'espére juste me faire plaisir en la réalisant, et pourquoi pas, vous faire sourire


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chapitre 1 - Départ en vacances - page 1
chapitre 2 - L'accident - page 1
chapitre 3 - Retour à la maison - page 1
chapitre 4 - Autosatisfaction - page 1
chapitre 5 - Obstination - page 1 et 2

chapitre 1 - Départ en vacances

Une famille parisienne ce prépare à quitter ces quartiers d'hiver pour squatter la demeure familiale en bord de mer.
La famille est déjà là-bas. Oncle, tante, cousins. Tous le monde les attends de pieds ferme. L'excitation est à son comble.

5h00 de route et ils pourront enfin revoir tous le monde ! Nous somme le 12 juillet, et ils ne se sont pas vue depuis le 25 décembre !
C'est long tout de même.

A présent il est temps de vous présenter cette petite famille.
4 personnes la compose.

Tout d'abord la mère : Yuna, 35 ans, rouquine aux yeux vert, elle assume totalement son embonpoint régulièrement entretenue à grand renfort de M&m's. Son style vestimentaire ...?...! excentrique on va dire, ce sera beaucoup plus court comme ça. Disons qu’après une période gothique tréééés prononcé elle a découvert le charme de la couleur, et les associations sont parfois ... surprenante ! D'une patience infinie, elle garde son calme dans presque toute les circonstances. En même temps avec les autres membres de la famille c'est presque vitale !
Elle s’accommode de quasiment toutes les situations et voit toujours le bon côté des choses.
Optimiste invétérés elle est adepte du juste à temps. S'organiser dans les grandes lignes mais pas la peine d'entrées trop dans les détails, on verra le moment venue. Sa morale frôle parfois l'hypocrisie.
Disons que dans sa famille il y a 2 devises inculquer dés le plus jeune âge : "mentir pour ce sortir d’affaires, ce n'est pas vraiment mentir" et "charitée bien ordonner commence par soit même " ... ça ce passe de commentaires non?
Un brin sorcière et médium, elle se soupçonne d'être nécromancienne, mais à bien trop peur de tester pour en être certaine!

Au tour du père : Newo, 38 ans, cheveux brun et yeux marron, en terme de fringues il n'accepte que le genre classique. Pas trop de couleur, rester neutre. son crédo : "l'originalité c'est bien ... pour les autres !" Avec lui les choses simples deviennent compliquées. N'importe qui dirait : "Plus tard on achètera une maison" lui il dira :"quand j'avais 5 ans j'ai vue une maison en construction, et puis je me suis dis que ... à 8 ans .... et aussi les briques c'est plus écolo, mais il faudrait songé à un système de .... à 15 ans j'ai déménager dans une maison en béton toute pourri sans sous-sol alors il faut absolument un garage double, un atelier et .... à 25 ans lorsque j'ai monté ma première entreprise .... c'est pour cela que nous devons achetez une maison parce que ...."
Donc au lieu d'une phrase de 5 secondes vous avez un monologue de 4h30 de routes ! ... tout ça pour dire comme vous qu' il faut acheter une maison ... -_-
Il est organisé, méticulleux et pragmatique, on pourrait dire agnostique. Alors les histoires de sorcellerie de sa femme le laisse de marbre. D'autant que sa mère à lui n'est pas mieux. A elle deux, elle font la pair. Alors il laisse faire et prépare les plans de sa maison de dans 5 ans, avec ces hypothétiques économies qu'il obtiendra avec ces futurs hypothétiques placements, afin d'assurer les études supérieurs de ces enfants, parce que c'est sûr, ils feront des études ....

La fille : Athénaïs, 8 ans et toute l'obstination d'une Corse-Bretonne aux ascendant Tchèque ! Disons qu'elle à commencer sa crise d'adolescence à 2 ans et que depuis cela ne l'a jamais quitté ... -_- .... Elle est très grande pour son âge et mesure presque la taille d'un enfant de 12 ans, et en a l’attitude ! Violetta en boucle à fond les ballons, qui chantte "Laissez moi vivre ma vie" ça y'est vous voyez le tableau ? Blondinette, avec un carré court, les cheveux raide, et le regard noir ! Au sens propre comme au figuré. Avec rien n'est simple ni fluide. Tout est sujet à discussion, confrontation. Obstiné et boudeuse, elle aurait un brin tendance à apprécier le scandale. La grande scéne "du 4" c'est sa spécialité :"Personne de n'aime ! bouhouhou" . Mais si elle se permet d'enquiquiner son frére à longueur de temps, gare à ceux et celles qui veulent l'ennuyer. Elle s'en occupera P.E.R.S.O.N.N.E.L.L.E.M.EN.T !
Courrage, fuyez.

Le fils :Alistair, 5 ans ; Le petit garçon chérie à sa môman! En voila un qui a tout compris. A grand coup de charme et de sourrires, le tout ponctué de "Maman je t'aime de tout mon cœur" il sait obtenir tout ce qu'il veut, en douceur, avec tranquillité. Disons que c'est l'opposé de sa frangine. Blondinet et coupe au bol. Ces petits yeux marron/vert n'arrivent pas à dissimuler toutes sa malice. Roi des blagues et du rire communicatif, il est toujours joyeux lorsqu'il à bien dormi. Ce petit bout d'homme sait instinctivement détendre l’atmosphère. Obsédé part tous les véhicules, qu'ils volent, roulent, flottent, il en parle sans arrêt. Pour lui le caillou, la fourchette ou une simple feuille de papier, tout peut-être motorisé ! Placide aux sourires ravageur, il a un don naturel pour le théâtre, et son petit cheveux sur la langue ne fait qu'accentuer son pouvoir ! Ayant un sens aigue du confort c'est le seul petit garçon de 5 ans qui emméne spontanément ces chaussons lorsque ces parents lui disent de prendre ce qu'il veut pour aller chez des amis passer la soirée (les parents eux, pensaient à des jouets )

Ce sont les dernières minutes avant le grand départ.

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Newo :Yep, les enfant, ça y'est tout le monde est prêt ?

Alistair : voui sssa y'est. Alors j'a ma voiture, mon'avion, le kélicoptére, ninnin .... mon oreiller, ma couverture et mes chaussons !

Athénaïs : (grognage intempestif) Noooon attennnnnds.....

Yuna: J'ai encore juste un truc à prendre sur la table.


Newo : quoi ?

Yuna: un truc rapide


Newo : Comment ça se fait que tu ne soit pas encore prête ? tu sais bien que l'on doit partir! Depuis le début de la semaine je te dis que je veux que nous partions avant 6h00, il est 5h40, on va être en retard, après on va se taper les bouchons ...

Yuna: hum ...


Newo : Je te préviens si le chat fais dans sa boite c'est ton problème, moi je ne...

Yuna: Les enfants allez faire pipi et mettez vos chaussures ...


Newo : ... je ne m'occuperais pas de nettoyer, c'est ton chat, et ... attend c'est pour une poupée qu'on traine là ! Non mais tu déconne parcequ'en plus t'aura même pas le temps de t'en occuper ou de faire quoique ce soit avec la famille qui est là ....

Yuna: Mais si, mais tu peux déjà descendre le chat et Alistair et installer tout le monde je te rejoins dans 2 minutes avec Athénaïs


Newo : Dans 2 minutes, je t'informe qu'il est déjà 52, moi je part à l'heure pile t'a intérêt à être là .... sinon

CLALC .... la porte d'entrée ce ferme.

Yuna: Athénaïs dépêche toi, ton père s'impatiente ...


Athénaïs : Voila voila

Yuna: Salut mes poupettes jolies !


Yuna: Hop on ferme un peu pour protéger du soleil, mais entrouvert pour aérer ... Athénaïs on y va !



Athénaïs : (cri hystérique) AAAAAAttend .

Yuna: Je suis prête !


Athénaïs : (cri hystérique) mais je trouve pas mon lapin ! bouhouhouhouhou

Yuna: regarde dans ton lit. Moi j'y vais.


Athénaïs : ça y'est je l'ai , t'es pas sympa pour m'attendre.

Yuna: Je pars !



Yuna: Allez hop c'est partie !


Newo : En voiture !


Yuna: Ben tu vois j'ai pas trainé!


Newo : mouais, j'ai failli attendre.

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La voiture s'avance. Toute la petite famille s'installe tranquillement dans la voiture. Alistaire c'est caler contre son oreiller, blottit sous sa petite couverture polaire. Athénaïs papouille le chat confortablement installer dans sa boite. Il ronronne à qui mieux mieux. Le chat à l'habitude des déplacements.
Yuna programme le GPS, pendant que Newo entame les premiers kilomètres de leur périple vers les vacances.

Il n'y a pas beaucoup de voitures à cette heures-ci. Les grands départ ont déjà eu lieu la veille. Et puis il est 5h00 du matin. Le soleil de juillet commence à darder ces premiers rayons. A la maison les oiseaux doivent commencer à entonner les chant matinaux.

Tout le monde à hâte de prendre son petit déjeuner dans la fraîcheur estival, sur la terrasse de la maison familiale.

Lorsque soudain :

iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

crissement de pneu

iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

puis rien

chapitre 2 - L'accident

Douleur, bruit, coup, silence.

L'immobilité qui suit la violence de ces quelques minutes est irréel.
Yuna veut bouger mais n'y parvient pas.
Elle à pourtant l'impression qu'elle essaye d'ouvrir les yeux, mais rien n'y fait.
Des mouvements. Des sons ... des mots ... une sirène ... ces sont des paroles qu'elle perçoit ?

Elle se sent bousculer, tirer, pousser, jetter !

Ils viennent de la jetter par terre? Si ce sont les secours ils ont tout de même de drôle de méthode !

Mais qu'est-ce qu'il se passe ?

Elle manque d'air. Puis rien.

Quelques heures plus tard.

Yuna se réveil, elle à du s'évanouir.

Yuna : Il fait toujours noir, mais au moins je sens la douleur dans mes membres. C'est plutôt une bonne nouvelle non! Si j'ai mal, c'est que je ressens bien mes membres. Par contre ce noir m'inquiéte ! Aveugle ? serais-je devenue aveugle ! Vue à quel point je suis bordélique ça va être hard à la maison !
Et puis les enfants , j'entend pas les enfants.

En bougeant Yuna ressent un sol mou.

Yuna : Trop mou pour un lit d’hôpital, et pourquoi ces parois sont-elles si prés ? un truc métallique, c'est froid ce machin.

En glissant ça main Yuna crois trouver une ouverture.


Yuna : Là , on dirait que ça bouge ... oui c'est ça, et de la lumière ! yes, je ne suis pas totalement aveugle et mes membres supérieur fonctionnent ! 2 bonnes nouvelles ! Maintenant il s'agit de sortir d'ici. Mais qu'est-ce que ? ...


Yuna : ou je suis là ? un hôpital ?


Yuna : On dirait le sac à bjd !


Yuna : Ces fringues, ... cette main ... ceette cette couleur , c'est pas possible j'ai des hallucinations


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Médusé Yuna, resta un long moment à observer cette main fine, blanche, à la fois si familière et tellement étrangère. Cette petite main répondait à chacun des ordres de son cerveau.
Lentement une idée frayait son chemin depuis son inconscience. Elle remontait vers son cerveau. L'obligeait à admettre l’évidence qui s'imposait.
Toutefois c'était tellement improbable, impensable, inenvisageable, I.M.P.O.S.S.IB.L.E ... Et pourtant cela était.
Déjà tant d'autres questions ce bousculaient ... Mais là ce qu'il lui fallait c'était un miroir. Il le fallait. Voir. Toucher... être certaine de l'improbable.

En farfouillant dans ce sac géant Yuna connaissait déjà la réponse à ces questions, même si sont cerveau refusait obstinément d’accréditer sa thèse.


En ouvrant son petit miroir de voyage Yuna ce dit :Ce simple fait, la taille désormais énorme de celui -ci, est une évidence. Mon coeur s'accélére, je sens l'imminence de l'irrémédiable réalité ...


Yuna : C'est dingue ... c'est complètement dingue ...


Tout en admirant son nouveau reflet.

Yuna : Et maintenant il faut répondre à ces questions : Mon mari ? Mes enfants? Ma famille? Mon corps ? Vivante ? Morte ? Dans le coma ? Voila pourquoi ils avaient jetté le sac ! Plus tard il faudrait résoudre le pourquoi et le comment. Mais pour l'instant il faut trouver Newo et les enfants. Je ne suis pas certaine de vouloir trouver mon corps, ni sur de l'état dans lequel il se trouve.


Mais un son violent provenant de l’extérieur la tira soudainement de ces songeries. (son de porte qui grince en s'ouvrant)

Yuna : qu'est-ce que ...


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Ne prenant même pas le temps de répondre à sa propre question, Yuna claqua le miroir qu'elle jeta prestement dans la sac. D'un mouvement aussi souple que rapide, elle ré-intégra l’intérieur du sac, et tira la fermeture. Son cœur battait à 100 à l'heure. Elle écoutait chacun des sons, qui désormais lui parvenais étouffer. Elle ne comprenais pas vraiment ce qui ce disait. Mais il lui sembla reconnaître la voie de sa mère.

Le son ce fit plus distinct.

Infirmier : Oui c'est le sac que les pompiers ont ramasser, ils ont crut que c'était son sac à main.
Mamoune: merci, mais ce n'est effectivement pas son sac à main.
Infirmier : On a remarquer. Vous pouvez le reprendre et le ramenez chez eux. Nous aurons besoin de changes et aussi leur carnet de santé puisque vous allez chez eux ...
Mamoune: oui biensur... Et leur état ... c'est ...
Infirmier : Écoutez madame, emporter le sac dans votre voiture, vous verrez le médecin ensuite, je ne suis pas habilité à vous répondre ...
Mamoune: s'il vous plait ...
Infirmier : soupir ... C'est grave, je ne vais pas vous le cacher, mais le coma artificiel leur sera d'un aide précieuse et ... ah voila le médecin, je garde le sac, allez-y

Yuna ; Le sac est soulever, oh non de D.-.-.- j'ai la gerbe là . Dommage que maman n'est pas pris le sac. Donc à priori je suis vivante et les autres aussi. Je suis dans le coma, et les autres aussi. Avec un peu bol maman va laisser le sac à la maison et je vais glandouiller là -bas, dans ce corps jusqu'à ce que mon vrai corps soit sortie du coma. C'est carrément bizarre cette situation.

Voila pour la suite il va falloir patienter un peu !

J’espère vous avoir divertit

Ah, ben, c'est surréaliste et prenant, cette histoire ! L'idée est très originale aussi, j'aime beaucoup et je me demande comment ça va évoluer dans les prochains épisodes ? Suspense...
J'aime beaucoup aussi ton style de narration et ton avatar Vivement la suite !